- Maître du Jeu
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Date d'inscription : 06/05/2020
Les écuries
Ven 8 Mai - 22:51
Le foin, le fumier et le grain : c'était autant de ces effluves reconnaissables qui flottaient dans l'air d'une écurie, peu importe l'endroit où elle se situait, ou les chevaux qu'elle abritait. Celle de Brakenfürt, reculée, n'accueillait presque exclusivement que des roussins et des juments, mais il s'y trouvait tout le nécessaire pour accueillir le palefroi d'un seigneur, ou le destrier d'un chevalier...
Longue du fait de ses nombreux boxes, les torches accrochées aux murs sifflaient souvent du vent venu de l'extérieur, quand celui-ci daignait se soulever ; c'est que le portait d'entrée était souvent ouvert pour aérer les lieux, dans un souci de confort tant pour les visiteurs que pour ses hôtes. Mais avec de telles bêtes entre ses murs, la chaleur n'était jamais vraiment chassée...
Dans l'arrière-salle, c'est surtout des odeurs de cuir et de cire qui dominaient, là où le palefrenier et son apprenti
s'occupaient de nettoyer ou réparer des selles et des longes, alors que le maréchal-ferrant lui, frappait parfois les fers à cheval de son marteau, pour leur donner la forme souhaitée ou bien la corriger...
Longue du fait de ses nombreux boxes, les torches accrochées aux murs sifflaient souvent du vent venu de l'extérieur, quand celui-ci daignait se soulever ; c'est que le portait d'entrée était souvent ouvert pour aérer les lieux, dans un souci de confort tant pour les visiteurs que pour ses hôtes. Mais avec de telles bêtes entre ses murs, la chaleur n'était jamais vraiment chassée...
Dans l'arrière-salle, c'est surtout des odeurs de cuir et de cire qui dominaient, là où le palefrenier et son apprenti
s'occupaient de nettoyer ou réparer des selles et des longes, alors que le maréchal-ferrant lui, frappait parfois les fers à cheval de son marteau, pour leur donner la forme souhaitée ou bien la corriger...
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